Experts en : Méthodologies participatives de recherche et d'enseignement
COURCY, Isabelle
Professeure adjointe
- Méthodologie qualitative
- Méthodologies participatives de recherche et d'enseignement
- Méthodes qualitatives
- Croisement des savoirs
- Rapports de sexe
- Rapports de genre
- Inégalités sociales
- Trajectoires et temps de vie
- Santé mentale et bien-être
- Inégalités sociales de santé
- Proche aidance
- Recherche sociale
Je suis une sociologue formée à l’intersection de plusieurs disciplines (sociologie, études féministes, kinésiologie, sciences de la santé, éducation). Mes travaux s’inscrivent dans les champs des études critiques sur le handicap, des rapports sociaux de sexe et des problèmes sociaux. Je m’intéresse aux mécanismes sociaux de l‘exclusion à partir de l’expérience sociale, des réseaux de solidarités et des savoirs construits « par et pour ». Je me spécialise dans le développement de méthodes visuelles inclusives.
GODRIE, Baptiste
Professeur associé
- Inégalités épistémiques
- Institutionnalisation des savoirs expérientiels
- Croisement des savoirs
- Méthodes qualitatives
- Production des savoirs et de l'ignorance dans les institutions sociales
- Méthodologies participatives de recherche et d'enseignement
- État social
Mes recherches portent sur les inégalités sociales, la participation sociale et la production des savoirs. Elles s’appuient sur l’idée que la reconnaissance, la production et la transmission des savoirs sont le produit des inégalités systémiques et des oppressions qui structurent les rapports sociaux. Ces intérêts de recherche me conduisent à mobiliser des méthodologies de recherche participatives qui font la promotion de rapports non hiérarchiques entre les savoirs des différents groupes sociaux.
Mes questionnements sont nourris par l’étude des pratiques de participation citoyenne dans le champ des services sociaux et de la santé qui offrent un observatoire des rapports entre savoirs expérientiels, universitaires et professionnels.
Ma démarche de recherche s’inscrit également dans le cadre d’une réflexion critique sur l’État social comme lieu privilégié de production et de reproduction d’inégalités entre les savoirs, mais également comme lieu d’expérimentation de nouveaux rapports entre les savoirs par le biais de pratiques de participation sociale.