Experts en : Déterminants sociaux de la santé
BRAULT, Marie-Christine
Professeure associée
Mes intérêts de recherche portent sur la médicalisation, les inégalités et les déterminants sociaux de la santé mentale chez les enfants et les jeunes. Mes projets de recherche actuels se concentrent surtout sur la médicalisation des comportements d'hyperactivité et d'inattention associés au diagnostic psychiatrique de Trouble du déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité (TDAH).
DEMERS, Andrée
Professeure honoraire
- Déterminants sociaux de la santé
- Inégalités sociales de santé
- Alcoolisation
- Santé mentale
- Épidémiologie sociale
Mes travaux de recherche s’ancrent dans le paradigme des déterminants sociaux de la santé. Une question traverse l’ensemble de ceux-ci: comment l’environnement social et la position des individus dans cet environnement influencent la santé mentale ou les pratiques de consommation d’alcool? Mes recherches s’appuient principalement sur des données d’enquête pour comprendre les relations complexes entre les individus et leur environnement social. Mes travaux ont notamment porté sur les contextes situationnels et relationnels de consommation d’alcool et sur les mécanismes par lesquels l’organisation du travail et les conditions objectives et subjectives de travail affectent de la santé mentale, en portant une attention particulière les rapports de genre.
LACOURSE, Éric
Professeur titulaire
POITRAS, Dave
Professeur associé
- Rapports sociaux, ethniques et nationaux
- Radicalisation
- Théorie sociologique
- Méthodes qualitatives
- Inégalités sociales
- Déterminants sociaux de la santé
- Sociologie politique
- Sociologie économique
- Canada (Québec)
- Belgique
- Pays-Bas
Mes travaux s’inscrivent dans le champ d’études de la sociologie du nationalisme et des relations ethniques, et portent sur le Québec, la Belgique et les Pays-Bas. Plus spécifiquement, mes recherches se penchent sur le nationalisme vécu, les polarisations sociales, la mémoire collective ainsi que sur des enjeux à l'intersection entre économie et nationalisme. En collaboration avec mes collègues de l’INSPQ, je travaille également en prévention de la violence dans une perspective de santé publique. Mes travaux portent principalement sur la prévention de la radicalisation et de la violence fondée sur le genre, notamment conjugale et sexuelle, ainsi que sur la promotion de la sécurité dans les communautés. L’ensemble de ces intérêts de recherche me conduisent à mobiliser des méthodes de recherche diversifiées comme l’historiographie et l’ethnographie.